Octobre rose, sensibilisation au cancer du sein.

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Chaque année, le mois d’octobre est consacré au cancer du sein et à la sensibilisation au dépistage. Ou plutôt les cancers du seins, car il en existe différents types. In situ, ou infiltrant, la prise en charge sera différente.

Mouvement de lutte anticancer né au Etats-Unis qui s'est développé dans les années 1980, il fait la promotion du dépistage, de la recherche et met en valeur les femmes qui y ont survécu. Le ruban rose a fait son apparition en 1992 dans les boutiques d'une célèbre marque américaine de cosmétiques de luxe.

C'est une maladie hélas trop répandue, partout dans le monde et encore potentiellement mortelle. C'est le type de cancer le plus fréquent.  Selon l'OMS , ont été recensés 2,3 millions de cas féminins et 685 000 décès dus au cancer du sein dans le monde en 2020.  Si sa fréquence augmente avec l'âge, il touche aussi de très jeunes femmes, parfois dès la puberté, mais aussi les hommes, rarement toutefois (il concerne 0,5-1 % des cas de cancer du sein). Selon le site ameli.fr "Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent des cancers féminins. Il représente 33 % des cancers de la femme. Près de 80 % des cancers du sein se développent après 50 ans.

En 2023, en France, on estime à 61 214, le nombre de nouveaux cas, soit une augmentation de 0,3 % par an depuis 2010. L'âge moyen au diagnostic est de 64 ans.

S'il existe des facteurs de risque connus, il faut savoir que près de la moitié des femmes atteintes ne présentent pas ces facteurs de risque (hormis l'âge supérieur à 40 ans). 

D'autant plus que le cancer du sein peut être symptomatique mais aussi asymptomatique.

TOUTE MODIFICATION DU SEIN OU DE L'AISSELLE NECESSITE UNE CONSULTATION MEDICALE.

Malgré le risque de surdiagnostic, le dépistage précoce  reste selon l'INCa le meilleur moyen de détecter un cancer précoce et de faire baisser la mortalité. Il augmente les chances de survie d'autant plus que les cellules cancéreuses peuvent se propager à d’autres organes (poumon, foie, os, cerveau), ce qui complique la prise en charge, alourdit la thérapie, et diminue le pronostic favorable. 

L’Institut national du cancer (INCa) soutient l’importance du dépistage systématique à partir de 50 ans.

Chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, l'hormonothérapie et les thérapies ciblées sont devenus des termes familiers ; la recherche a fait d'immenses progrès dans la prise en charge de cette maladie, avec le développement de nouvelles stratégies. 

Cette année, j'ai décidé de célébrer Octobre rose en mettant en avant la PREVENTION. Elle est essentielle. Le sujet de cet article n'est pas le cancer du sein, mais les bonnes habitudes à prendre afin de diminuer le risque de le développer. Et j'ai choisi de le faire avec une vidéo toute en douceur féminine et aux couleurs de ce mois, mâtinées de ma palette graphique. 

Ces recommandations sont officielles, établies par la recherche scientifique.

Prévention du cancer du sein : adopter une bonne hygiène de vie

Maintenir le doigt sur la vidéo pour la mettre en pause.

L'auto-examen et l'autopalpation peuvent vous sauver la vie.

J'espère que cette présentation vous plait et vous sensibilise à l'importance des habitudes simples mais ô combien essentielles à prendre pour votre santé. 

Et pour prendre soin de vous , voici un document " Mes notes" à télécharger , rempli de douceur, de féminité et de poésie. 

Prenez bien soin de vous, avec plaisir et fierté !

Quelques sites officiels pour s'informer :

Institut National du cancer

INCa

Mon réseau cancer du sein

Santé Publique France

cliquer sur l'image pour accéder au site

Les informations de cet article sont données à titre indicatif et ne se substituent en aucun cas à l’avis d’un professionnel de santé. De nouvelles publications scientifiques peuvent venir contredire ou compléter les informations données.

En cas de doute, il convient toujours de demander conseil à un professionnel de santé.